Diocèse de la Réunion
En route vers Pâques " la foi de Lazare"
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En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Depuis deux semaines, nous faisons route avec des personnages qui nous ressemblent, auxquels nous pouvons sans peine nous identifier : une femme revenant sans cesse vers le puits, pour étancher sa soif d’eau, et plus encore d’amour ; un homme, aveugle et mendiant, en quête de lumière. Et il ne nous est pas difficile avec eux d’emprunter le chemin de la foi : reconnaître en Jésus celui qui donne l’eau vive, le Christ qui vient dans le monde ; découvrir en Jésus celui qui ouvre les yeux
aveuglés, lui, la lumière du monde.
Mais voici qu’en cette semaine qui nous achemine presqu’au terme du Carême, vers la Semaine Sainte et la célébration des mystères de la Passion et de la Résurrection du Christ, en cette semaine, l’identification devient moins évidente, alors même que la révélation est plus déterminante. Double difficulté : Lazare, qui doit nous guider, est mort, et nous ne pouvons guère saisir le cheminement de sa foi ; et surtout Jésus se présente non plus seulement comme «le Christ de Dieu» (Jean 4,26), «le Fils de l’homme» (9,35), mais abruptement comme «la Résurrection» (11,25). Le choix que nous avons à faire, alors même qu’il est plus malaisé à fonder, apparaît cependant comme décisif : c’est un choix de vie et de mort.
Par grâce, Lazare a des sœurs. Des sœurs qui envoient prévenir Jésus : «Seigneur, celui que tu aimes est malade» (11,3). Deux sœurs qui réagissent selon leurs tempéraments différents, lorsque survient sa mort : l’une, Marthe, courant à la rencontre de Jésus pour le supplier encore ; l’autre, Marie, demeurant «assise à la maison» (11,20), accablée par le chagrin. Deux femmes, deux chemins de foi. Et le plus touchant est ici la manière dont Jésus assume toutes ces attitudes devant la mort, sa façon d’accepter les retentissements de la mort dans la vie et le cœur des hommes et de les prendre sur lui. Il accueille la prière de Marthe et l’expression de sa foi encore imparfaite, pour l’éclairer et la fortifier. Il accueille les larmes de Marie, pour les accompagner et les purifier par sa propre douleur. Il accueille le silence et l’incapacité radicale où est réduit Lazare, en le délivrant des entraves multiples où se débat toute existence humaine.Il embrasse notre mort corporelle, pour que sa vie – une vie éternelle –nous soit redonnée.
«Je suis la Résurrection. Le crois-tu ?», nous interroge aujourd’hui Jésus (11,25-26). Et nous percevons bien la gravité de la question. Là est bien le plus incroyable de notre foi : comment un homme peut-il poser une telle affirmation ? se présenter comme le Donateur de vie, plus encore comme la Vie même ? Là est le plus incroyable, mais là est aussi le plus enthousiasmant, car qu’aurions-nous à faire de prophètes et de thaumaturges qui ne nous guériraient ou ne nous instruiraient que pour un temps, nous laissant sombrer sans retour dans la mort ? Qu’aurions-nous à faire d’un dieu qui ne nous délivrerait pas de la mort ? «Crois-tu cela ?» La question décisive nous est posée. «Si le Christ n’est pas ressuscité des morts, alors notre message est vide, vide aussi votre foi», avertit Paul (1 Corinthiens 15,14).
Mais notre foi n’est pas un pari, fût-ce un pari contre l’absurde. Elle est une confiance. Confiance en cette voix puissante qui ouvre nos tombeaux. Confiance en cette voix qui sait se faire si tendre pour supplier : «Choisis donc la vie, pour que toi et tes fils viviez» (Deutéronome 30,19). Confiance en Celui qui n’a pas réveillé Lazare de loin, mais qui s’est fait Lazare, jusqu’en sa mort et sa mise au tombeau. Celui qui arrache notre foi à l’ombre et au néant, au prix même de sa vie. Celui qui se relève dans la lumière de Pâques, pour que désormais nous vivions de sa vie. «Moi je suis venu, nous redit Jésus, pour qu’on ait la vie, et qu’on l’ait en abondance» (Jean 10,10).
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Dimanche de Lazare
Un évangile à méditer : Jean 11,1-45
Lire la suite : Un évangile à méditerUn homme était tombé malade. C’était Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de sa sœur Marthe. (Marie est celle qui versa du parfum sur le Seigneur et lui essuya les pieds avec ses cheveux. Lazare, le malade, était son frère.) Donc, les deux sœurs envoyèrent dire à Jésus : «Seigneur, celui que tu aimes est malade.» En apprenant cela, Jésus dit :«Cette maladie ne conduit pas à la mort, elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié.»
La Parole commentée
Homélie de frère Pierre-Marie
.Le récit de l’Évangile que nous venons d’entendre, nous rapporte l’acte le plus fantastique de l’histoire des hommes. Le rappel de la mort et le retour à la vie d’un homme enseveli depuis quatre jours déjà (Jn 11,17).D’un homme, nommément désigné : «Lazare» ; parfaitement situé dans sa famille et sa maison ; en temps et lieux bien précisés, «dans le villagede Béthanie», voisinant Jérusalem (11,1-5) et «à l’approche de la pâque des Juifs» (12,1) ; en présence de nombreux témoins (11,33 ; 12,9), sous le pontificat de «Caïphe, grand prêtre cette année-là» (11,49). On ne saurait être plus explicite ni plus affirmatif
Lire la suite : La Parole commentée
À l'écoute des Pères
Lazare témoin de la résurrection de Jésus
De saint Jean Damascène, au VIIIe s.
Lire la suite : À l'écoute des PèresÉtant Dieu véritable, tu connaissais, Seigneur, le sommeil de Lazare et tu l’as prédit à tes disciples, les convainquant de la puissance infinie de ta divinité. Étant dans la chair, toi sans limite, tu viens à Béthanie.Vrai homme, Seigneur, tu pleures sur Lazare ; vrai Dieu, par ta volonté tu ressuscites le mort de quatre jours.
Vers le baptême
Troisième scrutin
Lire la suite : Vers le baptêmeLes scrutins, que l’on célèbre solennellement le dimanche, ont un double but : faire apparaître dans le cœur de ceux qui sont appelés ce qu’il y a de faible et de malade, pour le guérir, et ce qu’il y a de bien, de bon et de saint, pour l’affermir. Cela afin que les catéchumènes s’attachent plus profondément au Christ et poursuivent leur effort pour aimer Dieu. Ils donnent aux futurs baptisés la force du Christ, qui est, pour eux, le Chemin, la Vérité et la Vie. En ce cinquième dimanche du carême, dimanche de Lazare, les futurs baptisés vivent le troisième scrutin.
Une icône pour prier
L’icône de la résurrection de Lazare
Lire la suite : Une icône pour prierLa résurrection de Lazare est, avec le Bon Pasteur et l’Orante, et avant même la représentation de la Cène, l’une des scènes les plus primitivement représentées dans l’art chrétien. On peut s’en étonner : pourquoi ce miracle plutôt qu’un autre ? C’est qu’il revêt une importance théologique toute particulière, perçue avec acuité par les premières générations chrétiennes.
http://jerusalem.cef.fr/route-paques-2011-etape-5/dimanche
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Et vous aussi, comme Jésus, ne jamais baisser les bras devant les situations qui nous paraissent sans issues. C’est le Christ ressuscité qui est notre seule espérance…. Le seul sens de nos vies.
Invité- Invité
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
« Liliane viens dehors ! »
Aurai-je assez de confiance et de foi comme Marthe; ou bien penserai-je que mes cris de détresse ne sont pas entendu de Dieu?
Seigneur que cette montée vers Pâque m'aide à sortir de la prison de mes péchés, de mes peurs, de mes colères, de mes doutes, de mes rancœurs
et que je dis
:y3;:àn:
Invité- Invité
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Lundi 11 avril - La foi à l’épreuve du mal
«Seigneur, celui que tu aimes est malade» (Jean 11,3)
La prière de Marthe et de Marie, sœurs de Lazare, rassemble toutes les plaintes de l’humanité. Elle monte non pas pour soi, mais pour l’autre, le frère, et elle tient inséparablement deux vérités : le constat que tout homme est malade, et la confiance en l’amour de Dieu sauveur.
L’évangile de Jean ne précise pas de quelle maladie souffrait Lazare ; il ne dit que l’essentiel : Lazare en est mort. Mais le psalmiste que nous écoutons en ce jour, comme la voix de tous les Lazare de notre terre, détaille en son cri toutes les formes de maladie qui se mêlent : il est atteint en son corps – «ma gorge brûle» – et en son esprit – «tu sais ma folie» ; il est atteint tout à la fois par les forces de la nature – «le flot me submerge» –, par les autres qui lui «nuisent sans cause» et par son propre péché. Il est tout ensemble malade, malheureux et pécheur, figure d’une humanité souffrant du mal et des maux depuis l’origine.
Mais cette situation n’est pas présentée en un cri de désespoir, mais en une prière. Marthe et Marie en appellent à l’amour de Jésus pour Lazare. Le psalmiste clôt sa lamentation par un cri de foi : «Que ton salut, Dieu, me redresse !» – tellement sûr d’être exaucé qu’il débouche immédiatement sur l’action de grâce : «Je louerai le nom de Dieu par un cantique». Et Dieu ne fait pas défaut. Dieu vient combler le désir du priant. «Je vais aller le réveiller», affirme Jésus (Jean 11,2). Le mal n’est pas supprimé, comme par un coup de baguette magique ; il est dépassé par une promesse plus haute. Celle que Jésus est venu lui-même vivre en sa chair souffrante et ressuscitée, afin d’ouvrir pour nous une brèche dans le mal.
Psaume 69,2-5.30-34
Sauve-moi, ô Dieu, car les eaux me sont entrées jusqu’à l’âme.
J’enfonce dans la bourbe du gouffre, et rien qui tienne ;
je suis entré dans l’abîme des eaux et le flot me submerge.
Je m’épuise à crier, ma gorge brûle, mes yeux sont consumés d’attendre mon Dieu.
Plus nombreux que les cheveux de la tête, ceux qui me haïssent sans cause ;
ils sont puissants ceux qui me détruisent, ceux qui m’en veulent à tort. (…)
Et moi, courbé, blessé, que ton salut, Dieu, me redresse !
Je louerai le nom de Dieu par un cantique, je le magnifierai par l’action de grâces ;
cela plaît au Seigneur plus qu’un taureau, une forte bête avec corne et sabot.
Ils ont vu, les humbles, ils jubilent ; chercheurs de Dieu, que vive votre cœur !
Car le Seigneur exauce les pauvres, il n’a pas méprisé ses captifs.
Seigneur, au début de cette semaine, nous te présentons l’humanité confrontée depuis toujours au mal. Intercédant pour elle, comme un frère, comme une sœur, nous te présentons tous les malades, tous ceux qui souffrent la violence ou qui sont tourmentés par leurs propres angoisses. Regarde, Seigneur, les affamés et les torturés, les bourreaux et ceux qui veulent détruire le visage de l’homme fait à ta ressemblance. Pardonne, Seigneur, guéris, toi qui es le Dieu de vie. Console, toi le Dieu de tout amour, aie pitié de tes enfants égarés, toi notre Père de toute éternité, qui veux rendre à la vie et redonner la vie en abondance. Amen.
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
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Invité- Invité
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Carême 2011 : Accueillir l'amitié de Dieu
Bonjour ,
Avec Marthe et Marie, allons plus loin dans l'amitié avec le Christ.
Ouvrons lui largement notre coeur. Déposons devant Lui, avec confiance, tout ce qui peut nous lier : une parole, un événement…
Sr Isabelle et les bénédictines de Prailles
http://www.benedictines-prailles.fr/careme2011.php?&w=1680-1050
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
A l’angélus de dimanche, Benoît XVI a commenté l’Evangile du jour centré sur la résurrection de Lazare qui, a-t-il souligné, n’est pas encore cette « nouveauté absolue » qui fera irruption dans l’histoire de l’homme avec Jésus, mais un épisode qui nous met face au Christ « résurrection et vie » et nous invite à nous interroger sur la mort.
« La mort, a dit le Pape, représente pour nous comme un mur qui nous empêche de voir au-delà, pourtant notre cœur, lui, voit au-delà de ce mur, même si nous ne pouvons pas connaître ce qu’il cache ». Cette réalité qui « dépasse les limites de notre raison » est celle-là même
qui fait naitre « doutes et confusion » parmi les chrétiens.
Elle requiert donc un acte de foi, a poursuivi le Pape, pour croire que le Christ a vaincu la mort du péché, qui menace l’existence de chaque homme», et que sa « résurrection n’est pas un retour à la vie précédente, mais l’ouverture d’une réalité nouvelle, d’une terre nouvelle, finalement unie à nouveau au Ciel de Dieu ».
« Le Christ, a conclu Benoît XVI, abat le mur de la mort, en Lui habite toute la plénitude de Dieu, qui est la vie, la vie éternelle ».
http://webtvcn.fr/?p=42173
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Aller au-delà de la peur
On peut bien vouloir changer nos mauvaises
habitudes, prendre une décision pour orienter notre vie vers un peu de
bien, parfois cela ne suffit pas, et notre bonne volonté devient
velléité. Parfois, il y a des raisons légitimes qui ne permettent pas le
changement.
Mais, le plus souvent, c’est parce que la peur nous empêche d’agir :
la peur de ne pas y arriver, la peur de l’inconnu une fois ce
changement opéré, la peur de nous-même quand il y a bien longtemps que
l’on ne se sent plus capable de rien !
Avant de s’engager dans une démarche de conversion, il faut trouver
le remède contre cette peur. Le seul remède c’est la confiance :
confiance en soi d’abord, puis dans les autres, et enfin confiance en
Dieu, source et sommet de la confiance. Et alors, l’état ultime de la
confiance, c’est la foi. Avant d’opérer un miracle Jésus pose
généralement cette question au pauvre qui se présente devant lui :
« Crois-tu ? ». Il s’agit bien ici de confiance parce que la vraie
question de Jésus est : « As-tu confiance en moi ? Penses-tu que je peux
faire quelque chose pour toi, t’aider, te sauver ? ».
A nous de
répondre : oui, Seigneur, je n’ai pas peur, j’ai confiance en toi, je
crois en toi !
http://www.retraitedanslaville.org/
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Mercredi 13 avril - La victoire de la foi
«Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu,
celui qui devait venir dans le monde» (Jean 11,27)
Quelle est notre réponse au don de la vie offert par Dieu ? La réponse de Marthe, en tous les cas, ne se fait pas attendre. D’un coup elle passe dans la nouvelle alliance.
Au début de son dialogue avec Jésus, se mêlaient en elle la confiance à l’égard de ce rabbi à qui «Dieu accorde tout ce qu’il demande» (Jean 11,22) et le souvenir de la foi pharisienne lentement acquise au cours des siècles, affirmant la rétribution au dernier jour. La réponse de Jésus la place ailleurs : dans la foi au Fils de Dieu qui comble les promesses faites aux pères, car il est
«celui qui devait venir», et, en même temps, les déborde totalement, en s’identifiant, lui, à la Résurrection.
Voilà ce qui nous est proposé à nous aussi, comme le rappelle le passage de l’épître médité aujourd’hui : «croire que Jésus est le Fils de Dieu». Là est bien le nœud de notre foi, notre passage à la nouvelle alliance en lui : identifier Jésus de Nazareth, homme mortel entre les hommes, au Dieu unique dont l’être même est la vie.
Le «témoignage» suprême donné à la croix ne peut se recevoir que dans l’Esprit qui nous donne de reconnaître en cet homme mourant défiguré, le Dieu de la beauté et de la vie ; il passe par «l’eau et le sang» qui coulent de son côté ouvert et deviennent l’eau de nos baptêmes et le sang de nos
eucharisties qui, sacramentellement , nous donnent déjà part à sa vie.
Si lui, Jésus, a vaincu le mal en l’assumant entièrement à la croix pour que ne demeure que la vie, notre «victoire» sur «le monde» – c’est-à-dire, selon le sens donné à ce terme par Jean, sur tout ce qui en nous et hors de nous s’oppose à Dieu –, c’est «notre foi». «Crois-tu cela ?» (Jean 11,26).
1 Jean 5,4-13
Telle est la victoire qui a triomphé du monde : notre foi. Quel est le vainqueur du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? C’est lui qui est venu par eau et par sang : Jésus Christ, non avec l’eau seulement mais avec l’eau et avec le sang. Et c’est l’Esprit qui rend témoignage, parce que l’Esprit est la Vérité. Il y en a ainsi trois à témoigner : l’Esprit, l’eau, le sang, et ces trois tendent au même but. Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand. Car c’est le témoignage de Dieu, le témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui. Celui qui ne croit pas en Dieu fait de lui un menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce témoignage : c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle et que cette vie est dans son Fils.Qui a le Fils a la vie ; qui n’a pas le Fils n’a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, à vous qui croyez au nom du Fils de Dieu, pour que vous sachiez que vous avez la vie éternelle.
Seigneur Jésus, avec Marthe, je reconnais que tu es celui qui vient accomplir la longue attente, que tu es celui qui doit venir, le
Christ de Dieu. Avec Jean à la croix, je te rends grâce pour le témoignage du plus grand amour qui livre sa vie pour que le monde ait la
vie en abondance. Que ce témoignage, Seigneur, s’étende par la foi de tes disciples à tous ceux qui ne savent pas encore qu’en toi est leur vie, et à tout ce qui en moi est encore soumis à la mort. Afin que le monde sauvé par toi te reconnaisse et te chante éternellement. Amen.
http://jerusalem.cef.fr/route-paques-2011-etape-5
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Carême 2011 : Accueillir le regard de Dieu
Avec Marthe, Marie et Lazare, nous découvrons qu’entrer en amitié avec
le Christ, c’est aussi le laisser délier tout ce qui nous lie.
C’est laisser résonner sur nos vies : « Viens dehors » ! «
Déliez-le, laissez-le aller !
C’est croire il nous dé-lie, qu’il nous
libère de toute mort. Il est le Sauveur
Sr Isabelle et les bénédictines de Prailles
http://www.benedictines-prailles.fr/careme2011inscrit.html
Re: En route vers Pâques " la foi de Lazare"
Mercredi 13 avril 2011, mercredi de la 5e semaine de Carême |
"Si vous êtes fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples; alors vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres" Jn 8,32 |
REDÉCOUVRIR LA MISÉRICORDE DE DIEU DANS LA CONFESSION
Alors cette âme, ivre d’amour, ne pouvait plus se contenir, et elle disait en présence de Dieu : O éternelle Miséricorde, qui couvrez toutes les fautes de vos créatures, je ne m’étonne plus si vous dites à ceux qui sortent du péché mortel et qui retournent à vous : [i]Je ne me rappellerai pas vos offenses. O Miséricorde ineffable, je ne m’étonne plus si vous dites cela à ceux qui sortent du péché, puisque vous dites de ceux qui vous persécutent : Je veux que vous me priiez pour eux afin de pouvoir leur faire miséricorde.
O Miséricorde, qui venez du Père, et qui gouvernez par votre puissance l’univers tout entier ! O Dieu, c’est votre miséricorde qui nous a créés, qui nous a régénérés dans le sang de votre Fils ; c’est votre miséricorde qui nous conserve.
sainte Catherine de Sienne (1347-1380)
Méditation :
Le cœur de sainte Catherine de Sienne s’enflamme à la pensée de la miséricorde de Dieu qui nous permet de prier les uns pour les autres, et va jusqu’à oublier nos péchés. Elle est pleine d’admiration pour cette miséricorde qu’elle découvre abondante sur la terre. Soyons attentifs à l’Esprit Saint qui nous donne la lumière nécessaire pour reconnaître à notre tour la clémence du Père sur nous.
Témoin de la foi : le vénérable Jean-Paul II
Karol Wojtyla est né en 1920 près de Cracovie. Il fut élu Pape en 1978 et prit le nom de Jean-Paul II. Il a exercé sa charge avec un inlassable esprit missionnaire (voyages apostoliques, JMJ…). Il est décédé le 2 avril 2005, un Dimanche de la Divine Miséricorde, fête qu’il avait institué. Cette miséricorde il nous en a montré la force en se rendant dans la cellule d’Ali Agca, qui avait tenté de l’assassiner, pour lui accorder son pardon.
http://www.moncareme.fr/
Invité- Invité
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